Aaah ma chère (pas si) petite Vélodyssée ! C’est l’œil un peu humide que je vous parle, aujourd’hui, de cette véloroute qui a accueilli mon tout premier voyage à vélo en solitaire (mon tout premier voyage à vélo tout court, d’ailleurs) ! Avec ses 1300 kilomètres, de Roscoff à Hendaye, c’est l’itinéraire parfait pour débuter ! Ouverte en 2012 (elle n’est plus si jeune, bichette), La Vélodyssée traverse en tout et pour tout 3 régions et 9 départements. 100 % de son itinéraire est balisé et près de 80 % se réalise sur voies vertes ou pistes cyclables. Mais ce n’est pas tout ! Non contente d’être la plus longue véloroute française aménagée et entièrement balisée, elle est aussi jalonnée de pépites et de spécificités à découvrir. Elle a d’ailleurs obtenu, en 2024, la certification EuroVélo, ce qui est une grande première au niveau national ! Vous comprenez mieux maintenant, pourquoi je dis qu’elle est une véritable rampe de lancement. Mais, trêves de bavardages, allons de ce pas, jeter un œil à cet itinéraire vélo le plus à l’ouest de France !
La Vélodyssée : pour qui ? Pour quand ? Comment ?
La Vélodyssée, c’est difficile comment ?
« Sandra, est-ce que tu crois que j’ai le niveau ? »
C’est LA question qui revient le plus souvent chez les futurs-je-sais-pas-trop-j’hésite-néo-aventuriers.
Ce à quoi je réponds toujours et inlassablement : oui chaton, tu as complètement le niveau.
Qu’on se le dise, nul besoin d’être un zinzin du vélo pour mener à bien votre envie d’escapade. C’est d’ailleurs ce qui est ultra chouette avec le voyage à vélo : il y en a absolument pour tous les goûts.
Là où certain.es parcourront une quarantaine de kilomètres par jour (ça a l’air énorme dit comme ça, mais répartis sur la journée entière, je vous assure que vous les bouclerez laaaaargement), d’autres plus « habitué.es » pourront faire grimper le compteur jusqu’à 60, 80 voire 120 kilomètres pour les plus énervé.es.
En gros, si vous ne souffrez pas de problèmes de santé, l’itinérance à vélo vous est largement accessible. Le tout est de bien adapter les distances à votre forme et à votre endurance.
Bon à savoir : le seul truc dont vous pouvez éventuellement souffrir, ce sont les frottements répétés sur la selle si vous n’êtes pas correctement équipé.es. J’attire particulièrement votre attention sur ce point, car c’est LE truc qui peut bousiller votre voyage et vous dégoûter à tout jamais. Alors s’il y a un poste de dépense à privilégier quand on débute, c’est bien celui-ci !

Notez que le site de La Vélodyssée propose une carte interactive du parcours ainsi qu’un road book très détaillé. Libre à vous de cumuler plusieurs étapes ou de respecter le découpage tel qu’il vous est proposé. Pour chacune d’entre elles, une durée approximative est précisée ainsi que le dénivelé, les aménagements (piste cyclable, route, etc.) et les différents types de revêtements (lisse, rugueux, etc.). Un code couleur permet également d’évaluer le niveau de difficulté :
- Je débute/En famille = vert
- J’ai l’habitude = bleu
- Je me dépasse = rouge
Sur La Vélodyssée, seules quelques étapes sont classées « je me dépasse ». Et en effet, pour l’avoir parcourue de Hendaye jusqu’à Nantes, je n’ai pas relevé de difficultés majeures.
Alors let’s go, on fonce regonfler son vélo !
Quelle est la meilleure période pour rouler sur La Vélodyssée ?
Sur le site officiel de La Vélodyssée, il est grandement conseillé d’éviter la pleine saison, à savoir du 15 juillet au 15 août.
Personnellement, c’est pile à cette saison que je l’ai empruntée. Mais c’était il y a quelques années et vu l’engouement suscité par le voyage à vélo depuis, il y a fort à parier que sa fréquentation l’été ait quelque peu augmenté.
Ce n’est pas tant pour le risque d’embouteillages que pour la réservation des hébergements que cela peut être enquiquinant. Je me souviens, à « l’époque », n’avoir réservé aucun camping et m’être présentée chaque soir, la fleur au fusil et la bouche en cœur. Je n’ai jamais eu de mal à trouver un emplacement (sauf une fois, sur le bassin d’Arcachon, à Biganos), mais si vous voyagez à deux, à trois ou à plusieurs, peut-être faudra-t-il être un peu mieux organisé que moi !
Ou sinon, vous pouvez toujours opter pour l’avant et l’arrière-saison qui offrent la perspective de belles journées ensoleillées sans avoir à négocier un carré d’herbe ombragé ou une douche à la volée.
La Vélodyssée : plutôt de haut en bas ou de bas en haut ?
Oui, non, parce que moi aussi je me la suis posée cette question ! Et c’est, pardonnez-moi du terme, complètement débile ! Comme s’il y avait un sens à respecter…
Heu, pour rappel, le plus grand bonheur du voyage à vélo, c’est quoi, déjà ?
C’est quoi ?
Je ne vous entends pas !
Eh bien oui, m’sieur, dame, tout à fait, c’est la LI-BER-TE !
Certes, sur le site ou dans de nombreux topoguides, l’itinéraire cyclable de La Vélodyssée est décrit du Nord au Sud, mais c’est plus par « convention » que par obligation.
Alors, soyez fou, soyez rebelle et faites ce que vous voulez, nom d’une pipe.
Quel type de vélo pour voyager sur La Vélodyssée ?
Plutôt que de réécrire plusieurs fois la même chose, je vous renvoie, si vous ne les avez pas encore lus (oouuuuuh), à deux de mes précédents (et incroyables) articles :
Voyager à vélo : comment bien réussir sa première fois ?
Voyager à vélo : plouf, plouf, on choisit quoi comme vélo pour voyager ?
Vous y trouverez des infos capitales sur le choix de votre monture pour partir en voyage à vélo. Et ces conseils s’appliquent bien évidemment au parcours de La Vélodyssée.
Ce que je peux simplement rajouter ici, c’est que, La Vélodyssée étant relativement bien (voire très bien) aménagée, il y a très peu de risques que vous vous retrouviez sur des chemins complètement impraticables à devoir extraire votre vélo de sables mouvants ou de bancs marécageux.

Non, tout au plus, vous pourrez être secoué ici ou là par quelques racines ou petits cailloux. De fait, nul besoin d’investir dans un matériel ultra coûteux et ultra sophistiqué. D’autant plus s’il s’agit de votre premier voyage à vélo.
Moi, on m’a toujours dit qu’il fallait goûter avant de dire j’aime ou j’aime pas.
Les pépites à ne pas louper sur La Vélodyssée
Bien, maintenant que les questions sont bien toutes répondues, on va enfin pouvoir parler de l’essentiel : quelles sont les petites merveilles que vous réserve cet itinéraire cyclable ?
Voici la liste (non exhaustive) des pépites à ne pas louper !
La pointe de Bloscon et sa vue sur la baie de Morlaix
Spoiler alerte : je n’y ai jamais mis les pieds ! Mais paraît-il que la pointe de Bloscon avec sa petite (et trop mignonne) chapelle Sainte-Barbe est un lieu incontournable pour admirer toute la beauté de la baie de Morlaix. Il vous y attend un point de vue exceptionnel sur le port de Roscoff et les îles avoisinantes, notamment, l’île de Batz, l’île Callot et l’île Louët. Le lieu idéal, en somme, pour une pause contemplative ou un pique-nique face à la mer.

Le canal de Nantes à Brest
Long de 364 kilomètres, ce canal emblématique serpente à travers des paysages paisibles et bucoliques teintés de villages pittoresques, de charmantes petites écluses (238 quand même !) et de jolis ponts de pierre. Ce tronçon est idéal pour qui veut pédaler en douceur et laisser dérouler le fil de ses pensées. Ceci dit, et c’est un avis purement personnel, les canaux (quels qu’ils soient), c’est très joli les premiers kilomètres, mais cela peut vite être lassant. Alors si vous êtes du genre à aimer la variété, goûtez-y, mais avec parcimonie.
Les marais
Si vous aimez le mélange terre salée et eau sacrée, entre le marais breton et le marais poitevin, vous allez être ravi ! Éminemment poétiques (surtout au lever ou au coucher du soleil), les paysages de marais sont de véritables petits paradis pour tous les amateurs d’ornithologie, de photographie ou les deux. Au programme : des mosaïques de canaux, des prairies humides, du sauvage, de l’authentique et une atmosphère unique.

Les phares
Qui dit mer, dit phares. Pardon, mais c’est logique.
Et parmi ceux présents sur La Vélodyssée, se dressent quelques pépites :
- Le phare de la Coubre. 64 mètres pour 300 marches. Un ratio, somme toute, convenable pour pouvoir jouir d’une vue astronomique et admirer l’océan.
- Le phare de Cordouan. Plus connu sous le nom du « Versailles de la mer » (ouais carrément, le mec ne lésine pas) ou encore le « Roi des phares », ce petit bijou d’architecture est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Situé au cœur de l’estuaire de la Gironde, il n’est accessible que par bateau. Alors, à bord moussaillon, vous n’allez quand même pas passer à côté !

Le bassin d’Arcachon et la dune du Pilat
Le bassin d’Arcachon, on ne le présente plus ! Avec ses ports ostréicoles et ses petits villages trop mignons (je vous surconseille L’Herbe ou Le Canon), il est un lieu incontournable pour une dégustation gourmande. À proximité, la Dune du Pilat, que l’on ne présente plus non plus. Et qui, même si elle est devenue un site ultra ultra touristique, vaut quand même bien un petit arrêt. D’autant qu’à vélo, vous verrez, vous vous sentirez extrêmement privilégié de ne pas galérer à vous garer. Après une courte (mais intense) ascension, elle vous offrira un panorama exceptionnel sur Les Landes et l’océan !

La forêt landaise : ses pins, ses lacs et sa bruyère
Bon ici, les avis sont partagés. Il y a ceux que ça gonfle assez vite de traverser des kilomètres et des kilomètres de pins et il y a ceux que ça enchante. Moi, j’appartiens plutôt à la seconde catégorie. Je ne sais pas si c’est parce que c’était ma toute première balade à vélo, mais j’ai été ravie-ravie de traverser cette forêt. Et puis les lacs, bon sang, les lacs ! Des pépites ! Prévoyez vos pique-niques pour une pause au bord des lacs de Biscarrosse et de Sanguinet. Prévoyez même une sieste, une baignade, ou carrément de déménager.

La chapelle Sainte-Madeleine de Bidart et son belvédère surplombant l’océan
Cette petite chapelle située sur les hauteurs de Bidart est un trésor (pas si) caché de la côte basque. Depuis son belvédère, vous pouvez profiter d’une vue époustouflante sur l’océan Atlantique et les Pyrénées. Préparez vos appareils parce qu’il y a de quoi faire de très, très jolies photos.
La côte basque
Enfin, entre Biarritz, Saint-Jean-de-Luz et Hendaye, la côte basque vous offre une succession de plages sauvages, des kilomètres de sable doré et de falaises escarpées. Pour y accéder, il vous faudra parfois sortir un peu de La Vélodyssée et accepter d’abandonner votre deux roues pour quelques heures. Mais n’ayez crainte, ce n’est parce qu’il sera loin de vos yeux qu’il sera loin de votre cœur. Et puis, vous avez bien mérité de vous la couler douce, le nez plongé dans un bouquin, les fesses calées sur le sable chaud.

Et vous n’oublierez pas, bien sûr, d’aller vous imprégner du charme des grandes villes emblématiques que sont Nantes, La Rochelle, Rochefort, Royan, Bayonne, ou encore Biarritz.
Oui, tout à fait, votre programme de visites est bien chargé !
3 conseils clés pour rouler sur La Vélodyssée
Chassez les petits carrés verts pour être accueilli comme la Reine Mère !
Le label Accueil Vélo, qu’est-ce que c’est ? Il s’agit d’un label de qualité national présent sur de nombreux itinéraires vélo. Il vous permet d’identifier les prestataires touristiques engagés en faveur du tourisme à vélo et proposant différents services aux voyageurs.
Rapidos, voici un petit aperçu des services proposés par les établissements Accueil Vélo :
- Moult informations et conseils utiles en rapport avec votre parcours (points de vue à proximité, météo, horaires de train et de bus, coordonnées des loueurs et réparateurs de vélo, etc.).
- Des équipements à dispo tels que des abris à vélos sécurisés, des kits de réparation en cas de crevaison, un endroit où laver sa bécane, etc.
- Des services bien pensés qui peuvent vous soulager (transfert de bagages, lavage et séchage du linge, location de vélos et accessoires, etc.).
Si les établissements disposant du label peuvent être variés (hébergements, loueurs, réparateurs, offices de tourisme, ou encore sites touristiques), ils ont néanmoins le point commun d’être tous situés à moins de 5 km d’un itinéraire vélo. Intéressant, n’est-ce pas ?
Pour les trouver, rien de plus simple : ils sont reconnaissables grâce à un petit panneau sur lequel figure un logo vert apposé à leur porte d’entrée.
Le voici :
Dormez où vous voulez, mais soyez (un peu) organisé !
Alors là, sur La Vélodyssée, ce ne sont pas les hébergements qui manquent ! Personnellement, pour des questions de budget, mais aussi de liberté, je favorise toujours les campings (le bonheur absolu d’une douche après une longue journée à pédaler) ou le bivouac. Mais, je peux comprendre que certain.es d’entre vous n’aient pas hyper envie de sacrifier leur confort.
De fait, voici quelques petites suggestions :
- De plus en plus de campings proposent des solutions d’hébergements dits « légers ». Cabadiennes, campétoiles, tentes toilées, rien n’est trop beau pour les aventuriers à vélo souhaitant faire un gros dodo. Et magie de l’internet, toutes ces offres sont répertoriées sur la carte interactive de La Vélodyssée. Pour les retrouver, il vous suffit de sélectionner « hébergements légers à la nuitée ».

- Pour plus de fun et de plaisir, votre itinérance à vélo peut aussi rimer avec hébergement insolite, le temps d’une nuit ou deux. Genre la pêcherie perchée du Manoir de l’Espérance à Corsept ou la cabane féérique du Domaine du Roc au Val d’Oust. Idem, pour les retrouver, cochez la case « hébergement insolite » sur la carte mise en ligne sur le site.
- Des solutions plus classiques sont bien évidemment envisageables : AirBnb, hôtels, gîtes, chambre d’hôtes et j’en passe ! Étant nettement moins familière de ce genre d’hébergements, je vous laisse vous débrouiller sur ce sujet ! Oui bah hein, je ne peux quand même pas faire tout le boulot à votre place ! Non, mais !
- Enfin, et on y pense souvent moins, mais l’application Warmshower vous permet de trouver d’autres passionnés de vélo prêts à vous héberger gratuitement. C’est une solution absolument fantastique puisqu’elle vous permet de rencontrer d’autres fanatiques et de passer une excellente soirée. À condition, bien sûr, de ne pas faire comme moi et d’anticiper un chouilla. En période estivale, par exemple, il n’est pas rare que les gens soient eux-mêmes en vacances et ne puissent pas vous recevoir. Essayez de leur écrire un peu en avance histoire d’avoir un plan B en cas de non réponse !
Bon à savoir :
1/De nombreux campings Accueil Vélo proposent des tarifs préférentiels pour les voyageurs à vélo, n’hésitez pas à le leur demander.
2/ Renseignez-vous un minimum avant d’envisager l’option bivouac. Le camping sauvage n’est pas toujours autorisé sur le tracé de La Vélodyssée.
3/ Notez que si vous voulez faire suivre vos bagages, il peut être intéressant d’opter pour des hébergements Accueil Vélo. En effet, ces derniers sont tous en mesure d’assurer (gratuitement ou non, tout dépend) le transfert de vos effets personnels. Pratique si vous souhaitez voyager léger.
Soyez écolo jusqu’au bout et misez sur l’intermodalité !
Alors je vous entends d’ici, l’option train + vélo, c’est souvent la galère de ta grand-mère et source de nombreuses prises de têtes.
Oui, MAIS, c’est quand même vachement satisfaisant de se dire que l’on n’aura pas touché un seul levier de vitesse pendant plusieurs jours d’affilé.
On va dire que c’est la partie un peu pénible de l’aventure. Pas de quoi en faire tout un plat. Et puis, c’est toujours pareil, plus on sera nombreux à jouer la carte de l’intermodalité et plus il y aura des solutions de transports qui nous seront proposées. Sisi, on y croit.
Et pendant que vous ruminez, voici deux ou trois trucs à savoir pour embarquer votre vélo dans un train ou vice versa :
L’itinéraire de La Vélodyssée est jalonné de grandes gares : Morlaix, Nantes, La Rochelle, Bordeaux ou encore Hendaye. Et, les choses étant bien faites, ces gares sont connectées au reste du territoire français ! Alors, vos excuses bidons… (ceci étant de l’humour, merci de ne pas vous énerver en commentaires).
De là, deux solutions :
- Si votre vélo est démonté et rangé dans une housse (130 cm x 90 cm), il sera considéré comme un bagage à main classique et sera accepté à bord de tous les trains sans réservation préalable.
- S’il n’est pas démonté, il vous faudra réserver un emplacement (les tarifs et les places disponibles varient selon le type de train emprunté). Pour les TGV ou les OUIGO, c’est fastoche, il suffit de sélectionner l’option vélo au moment de votre réservation. Pour les TER et les INTERCITÉS en revanche, le mieux est de vous renseigner directement sur les sites des régions Bretagne, Pays de la Loire et Nouvelle-Aquitaine.
Toujours est-il que démonté ou pas, je vous conseille, en tant que grande anticipatrice que je suis (bah quoi ?), d’arriver un peu en avance à la gare, le jour du départ. Ce ne sera pas de trop lorsqu’il vous faudra dégrafer vos sacoches, mettre le vélo sous vide, etc., etc.
Ah oui, j’oubliais, petit détail qui a tout de même son importance : tout ce qui ressemble à un vélo, mais en plus gros – remorques, tandem, vélo cargo, vélo couché, fusée – est interdit à bord des trains (TOUS les trains).
Je sais, c’est pénible, mais ça viendra, je vous dis que ça viendra…
Avant de vous quitter, j’attire votre attention sur un tout dernier point. L’année dernière, La Vélodyssée a remis au goût du jour son Passeport de La Vélodyssée crée en 2022. Il n’existait pas encore quand je me suis lancée, mais je trouve l’idée absolument géniale et fantastique. Le principe ? Faire tamponner son passeport chaque fois que vous passez une étape clé. Il y a en tout 46 tampons à collectionner et 75 points relais (un tous les 17 km environ). C’est ludique, rigolo et c’est une chouette manière de garder une trace de votre voyage. N’hésitez pas à m’envoyer des photos de vos passeports tamponnés parce que, j’avoue, je suis un peu frustrée d’avoir loupé ça !
Cet article est maintenant terminé et si j’ai, un tant soit peu, réussi à vous mettre l’eau à la bouche, je vous conseille de continuer votre lecture avec le récit de mon voyage sur La Vélodyssée. Vous pouvez également aller lire mon témoignage (et bien d’autres) à la rubrique « témoignages » du site de La Vélodyssée. Il s’appelle (modestement, ahah !) L’aventure au bout du guidon.
See-you-bye-bye !
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